filmer l’inconscient – le cinéma comme dialogue
« Bien sûr le cinéma filme l’invisible ; c’est à dire qu’une image de cinéma raconte toujours plus que ce que l’on voit. Mais cet invisible, au fond, c’est l’inconscient. »
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« Bien sûr le cinéma filme l’invisible ; c’est à dire qu’une image de cinéma raconte toujours plus que ce que l’on voit. Mais cet invisible, au fond, c’est l’inconscient. »
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« Les réalisateurs et autres metteurs en scène de cinéma auraient-ils peur de l’image numérique, comme les peintres de jadis et naguère craignaient la photographie ? Peur d’une image sans fin, d’une « forme image » sans autre finalité que l’incessante poursuite du temps réel, d’un temps qui contrairement à celui de la chronologie, ne passe plus par le défilé des événements ou le défilement des séquences du photogramme, mais qui s’expose, qui fait surface, ou plutôt interface, à la lumière de la vitesse des particules élémentaires… »
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« La surface de l’écran dans les salles de cinéma fonctionne comme un organe cognitif artificiel. L’organe prosthétique de cet écran ne se limite pas à reproduire la perception cognitive de l’être humain, il en modifie aussi la nature. »
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